Boulimic God

Publié le par Haru

Il y a des jeux pour lesquels c'est la chasse aux images. Il y en a d'autres pour lesquels les éditeurs se lachent ce qui donne lieu à de véritables chiées d'images. Deux stratégies qui s'affrontent, la rareté, créer l'événement à chaque passage dans les brèves, ou le bon gros flood massif avec la sortie quotidienne d'image, stratégie initiée par Nintendo pour Super Smash Bros Brawl reprise par Sega ces derniers jours pour Bayonetta, le but étant d'occuper le terrain. C'est peut être mieux de faire les titres chaque jour parce qu'on sort des images coquines  que parce qu'on castre sa version PC.


Les japonais découvrant les joies de la diarrhée imagée, même les titres s'y prêtant le moins finissent par s'y mettre. Ainsi, Disgaea Infinite, un graphic novel avec plein de Prinny dedans, a joué hier à ce petit jeu : 158 images d'un coup avec parfois près d'une dizaine d'images sur la même minute de jeu. On joue ainsi parfois au jeu de la seule erreur.

Trouveras-tu ce qui a changé entre le screen du dessus et le screen du dessous ?



Dernier entré en lice, God Eater, un Monster-Hunter Like de Namco Bandai au design très japouné très séduisant. Conscient de l'énorme potentiel que pouvait représenter un héros kawaii qu'on dirait sorti de Kingdom Hearts, Namco Bandai illustre son jeu copieusement, à tel point que la galerie de jv.com atteint déja les 369 screens en l'espace de trois mois. A tel point que l'éditeur si généreux qui crie "prenez, ceci sont mes screens !" ne fait même pas gaffe aux petits détails, ce qui est toujours mal.

Co-op FAIL

Reste néanmoins que la stratégie est payante, puisque comme un gland les grands yeux de ces adolescents pourvendeurs de démons m'ont presque convaincu de partir à la recherche de ma PSP oubliée...

Publié dans Actu

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